Copyrighy Warner Bros
Je continue mon décompte de mes films d'horreur préférés et en troisième position, on retrouve The Shining réalisé par Stanley Kubrick et adapté du roman de Stephen King du même nom. Jack Nicholson y joue Jack Torrance, un homme qui accepte de devenir gardien d'un hôtel fermé pour l'hiver dans les montagnes du Colorado. Il espère ainsi trouver la quiétude pour écrire son roman. Sa femme Wendy et son fils Danny sont aussi du voyage. Danny rencontre le cuisinier Halloran et découvre que tout comme lui, l'homme a le don de télépathie. La famille est mise au courant qu'un homme a assassiné sa femme et ses enfants dans l'hôtel quelques années plus tôt, ce qui ne les empêche pas de rester pour la saison froide. Mais plus les jours passent et plus le comportement de Jack change, celui-ci sombrant lentement dans une folie meurtrière.
Stanley Kubrick réalise ici un chef d'oeuvre cinématographique. On ressent pleinement l'oppression qui augmente alors que les éléments font rage à l'extérieur et que la famille est de plus en plus isolée du reste du monde. Jack Nicholson est au top de sa forme alors que son personnage perd pied avec la réalité. Shelley Duvall, surtout connue pour le film Popeye dans lequel elle jouait Olive, est absolument fabuleuse dans le rôle de Wendy qui doit protéger son fils dans cet endroit gigantesque alors que son mari se transforme en agresseur. Plusieurs scènes d'anthologie sont tirées de ce film (redrum et les jumelles, Here's Johnny) et les références à ce long métrage sont légions dans la culture populaire (voir la fiche wikipédia du film pour en connaître quelques unes). À voir absolument.
Critiques cinéma, DVD, livres, émissions de télé et albums. Je vous parle de mes coups de coeur quotidiens. Préférences pour les films d'horreur, la littérature populaire de qualité, la télé réalité et la musique en tout genre.
lundi 29 octobre 2012
dimanche 28 octobre 2012
Amityville: La maison du diable
Copyright Metro Goldwin Mayer
Comme l'halloween arrive à grands pas, j'ai décidé de vous parler de mes cinq films d'horreur préférés. J'ai déjà écrit un texte, Classique de l'horreur, sur ce qui est pour moi un des meilleurs films de ce genre, The Omen. Au numéro deux de mon classement se trouve The Amityville horror (Amityville: La maison du diable) sorti en 1979 (pas le remake de 2005 avec Ryan Reynolds, mon dieu, non!!!) et réalisé par Stuart Rosenberg d'après le roman de Jay Anson. Ce long métrage m'a fait faire des cauchemars récurrents, la scène de la cave m'ayant littéralement traumatisé durant mon enfance. Évidemment, je le regarde aujourd'hui avec des yeux d'adulte et je le trouve un peu moins effrayant, mais à peine. Je vous l'ai déjà souligné, je préfère les suspenses psychologiques au gros gore dégoulinant. Et on est servi avec Amityville...
Georges et Kathy Lutz achètent une maison à rabais sans savoir que quelques années plus tôt s'y est déroulé des incidents tragiques. Le comportement du père de famille changera graduellement, celui-ci devenant une menace pour son entourage tandis que des évènements horrifiants se produisent dans la demeure. Selon le livre de Jay Anson, l'histoire serait basée sur des faits réels qui auraient prit place en 1975... À faire dresser les cheveux sur la tête!
Dans le rôle de George, on retrouve un tout jeune James Brolin (mari de Barbra Streisand et père de l'acteur Josh Brolin). Son frère joue d'ailleurs son double démoniaque dans la fameuse scène du sous sol. Margot Kidder, dans le rôle de Kathy, réussit même à faire oublier la Lois Lane de Superman. Un excellent film qu'il fait bon revisiter. Demain, la position suivante dans ma liste de l'horreur.
Collaborations
Je vous ai déjà dit que j'étais nouvellement critique films et musique pour 2 sites web. Voici donc les liens pour lire mes articles. Cherchez sous le nom Julie Montpetit et vous me trouverez sur cinemaniax.net et dans la section musique ou cinéma sur lpsn.ca .
Comme l'halloween arrive à grands pas, j'ai décidé de vous parler de mes cinq films d'horreur préférés. J'ai déjà écrit un texte, Classique de l'horreur, sur ce qui est pour moi un des meilleurs films de ce genre, The Omen. Au numéro deux de mon classement se trouve The Amityville horror (Amityville: La maison du diable) sorti en 1979 (pas le remake de 2005 avec Ryan Reynolds, mon dieu, non!!!) et réalisé par Stuart Rosenberg d'après le roman de Jay Anson. Ce long métrage m'a fait faire des cauchemars récurrents, la scène de la cave m'ayant littéralement traumatisé durant mon enfance. Évidemment, je le regarde aujourd'hui avec des yeux d'adulte et je le trouve un peu moins effrayant, mais à peine. Je vous l'ai déjà souligné, je préfère les suspenses psychologiques au gros gore dégoulinant. Et on est servi avec Amityville...
Georges et Kathy Lutz achètent une maison à rabais sans savoir que quelques années plus tôt s'y est déroulé des incidents tragiques. Le comportement du père de famille changera graduellement, celui-ci devenant une menace pour son entourage tandis que des évènements horrifiants se produisent dans la demeure. Selon le livre de Jay Anson, l'histoire serait basée sur des faits réels qui auraient prit place en 1975... À faire dresser les cheveux sur la tête!
Dans le rôle de George, on retrouve un tout jeune James Brolin (mari de Barbra Streisand et père de l'acteur Josh Brolin). Son frère joue d'ailleurs son double démoniaque dans la fameuse scène du sous sol. Margot Kidder, dans le rôle de Kathy, réussit même à faire oublier la Lois Lane de Superman. Un excellent film qu'il fait bon revisiter. Demain, la position suivante dans ma liste de l'horreur.
Collaborations
Je vous ai déjà dit que j'étais nouvellement critique films et musique pour 2 sites web. Voici donc les liens pour lire mes articles. Cherchez sous le nom Julie Montpetit et vous me trouverez sur cinemaniax.net et dans la section musique ou cinéma sur lpsn.ca .
mardi 23 octobre 2012
Lisa Leblanc et Hits of the fifties
Je sais, je m'y prends tard, l'album de Lisa Leblanc est sorti depuis très longtemps. Mais je n'avais pas réussi à l'avoir entre les mains avant. J'ai vraiment eu un gros coup de coeur pour cette fille du Nouveau-Brunswick. En fait, je n'ai pas embarqué au début avec Ma vie c'est d'la marde, son premier single, même si c'est clairement un vers d'oreilles et un défouloir incroyable. C'est avec la magnifique Kraft Dinner que j'ai craqué, poésie à fleur de peau qui vient me chercher les tripes chaque fois que je l'écoute. Cerveau ramolli et J'pas un cowboy roulent en boucle dans mon ipod...J'aime son folk rock à la sauce féminine, je me reconnais dans la majorité de ses textes, dans son langage (elle c'est le chiac mais moi je pratique le joual avec passion dans mon quotidien)...Un excellent album que je mettrais sans hésiter dans mon 10 de cette année.
Hits of the fifties
Je me suis fait un petit plaisir aujourd'hui en faisant mon épicerie. J'ai remarqué une compilations des meilleures chansons des années 50 à un prix dérisoire. À prime à bord, je doutais de la qualité des enregistrements mais devant les grands noms de la musique cités sur la pochette et le volumineux nombre de titres (54 chansons sur 3 cd), je me suis laissé tenter. Et je ne regrette absolument pas mon achat. Des enregistrements originaux de Chuck Berry, Little Richards, Pat Boone, Marylin Monroe, Carl Perkins, Elvis Presley, Jerry Lee Lewis et bien d'autres, des classiques du rock n'roll qui donnent envie de se déhancher jusqu'à épuisement. Et tout ça pour 5 malheureux dollars. Une aubaine qui a fait ma journée. À utiliser durant vos soirées du temps des fêtes pour faire lever le party et briser le cycle maudit des chansons de Noël.
Hits of the fifties
Je me suis fait un petit plaisir aujourd'hui en faisant mon épicerie. J'ai remarqué une compilations des meilleures chansons des années 50 à un prix dérisoire. À prime à bord, je doutais de la qualité des enregistrements mais devant les grands noms de la musique cités sur la pochette et le volumineux nombre de titres (54 chansons sur 3 cd), je me suis laissé tenter. Et je ne regrette absolument pas mon achat. Des enregistrements originaux de Chuck Berry, Little Richards, Pat Boone, Marylin Monroe, Carl Perkins, Elvis Presley, Jerry Lee Lewis et bien d'autres, des classiques du rock n'roll qui donnent envie de se déhancher jusqu'à épuisement. Et tout ça pour 5 malheureux dollars. Une aubaine qui a fait ma journée. À utiliser durant vos soirées du temps des fêtes pour faire lever le party et briser le cycle maudit des chansons de Noël.
lundi 22 octobre 2012
Bernard Adamus N° 2
L'impression de se retrouver dans un saloon ou dans le désert, ou sur la route...L'album N° 2 de Bernard Adamus est clairement blues mais dans des styles différents, comme si chaque chanson avait une vie propre, indépendante de la précédente ou de la suivante, country, jazz, rock n'roll old style. Et toujours le blues qui lie chaque élément. La poésie en joual du chanteur portée par sa voix cassée et rugue et pourtant puissante. Les tounes tristes qui sentent la peine d'amour et le morne hiver (Fulton Road, Le scotch goûte le vent). Pas de hit radio comme le fut Brun (la couleur de l'amour) sur son premier album. Je pense à Plume durant l'écoute de Entre ici pis chez vous. C'est loin d'être joyeux et ça fait parfois mal. Mais la beauté se retrouve parfois dans la noirceur. Et c'est le cas ici avec Bernard Adamus, alors qu'on voyage avec lui vers un saloon, un désert, sur une route... À éviter les jours de déprime.
dimanche 21 octobre 2012
Magic Mike de Steven Soderbergh: panne de courant
Copyright Warner Bros. Pictures
Vu les longs métrages précédents de Steven Soderbergh, je m'attendais à ce que Magic Mike soit une étude sociale sur le sujet des strip-teaseurs masculins ou dans le pire des cas, une comédie acide mais intelligente. Même un film de filles bien réussi m'aurait satisfaite mais il semble que le réalisateur américain ait décidé de jouer de paresse sur ce coup-ci. Pourtant, tous les ingrédients pour faire un bon divertissement étaient réunis: des acteurs populaires à la plastique parfaite (Matthew McConaughey et Channing Tatum) ainsi que des seconds rôles tenus par des comédiens très présents à la télé (Joe Manganiello, le loup-garou de True Blood, Matthew Borner que l'on peut voir dans FBI: Flic et escroc sur Séries+, Adam Rodriguez de CSI Miami sur CBS), sans compter la présence de Soderbergh à la tête du projet. On a plutôt droit à un scénario convenu et déjà vu qui ne lève jamais ( jeu de mots...).
Mike (Tatum), travailleur de la construction le jour, strip-teaseur la nuit et entrepreneur dans l'âme, prend sous son aile Adam, un fougueux jeune homme qui ne désire pas entrer dans le moule. Suite à une faiblesse d'un des danseurs, Dallas (McConaughey) engage Adam qui deviendra Le Kid sur scène. Mais la soeur du Kid ne voit pas d'un bon oeil la nouvelle carrière de son petit frère et le mode de vie qui va avec.
Que Channing Tatum soit le personnage principal de ce film est totalement incompréhensible. Bien sûr, il a le physique de l'emploi mais le charisme au niveau zéro. À côté de lui, Matthew McConaughey, dans la seule scène de strip-tease réussie du film, causerait une surcharge électrique à la ville de Montréal. Par contre, celui-ci cabotine dans son personnage de propriétaire de club. Il faut dire que le rôle n'a pas beaucoup de substance. Quand aux seconds rôles, ils sont clichés et mal utilisés. Les numéros de danse sont ordinaires, comme si les gars allaient à l'usine... Et on a ici des bombes masculines d'Hollywood pour l'amour!!! Même Joe Manganiello, l'hyper sexy et populaire être surnaturel de True Blood semble fade, ce qui en dit beaucoup sur le naufrage de l'exercice.
Quand à l'histoire d'amour entre Mike et la soeur d'Adam, on s'en fiche complètement. La bonne fille (Cody Horn) qui s'amourache du bad boy de service, on a déjà vu ça et 1000 fois mieux fait. Et Horn n'a pas la tâche facile, son personnage est aussi beige qu'un mur de cabinet de médecin. Un gâchis sur toute la ligne. Le film sort en DVD cette semaine mais ne payer pas plein prix pour le voir, ce serait trop cher.
Vu les longs métrages précédents de Steven Soderbergh, je m'attendais à ce que Magic Mike soit une étude sociale sur le sujet des strip-teaseurs masculins ou dans le pire des cas, une comédie acide mais intelligente. Même un film de filles bien réussi m'aurait satisfaite mais il semble que le réalisateur américain ait décidé de jouer de paresse sur ce coup-ci. Pourtant, tous les ingrédients pour faire un bon divertissement étaient réunis: des acteurs populaires à la plastique parfaite (Matthew McConaughey et Channing Tatum) ainsi que des seconds rôles tenus par des comédiens très présents à la télé (Joe Manganiello, le loup-garou de True Blood, Matthew Borner que l'on peut voir dans FBI: Flic et escroc sur Séries+, Adam Rodriguez de CSI Miami sur CBS), sans compter la présence de Soderbergh à la tête du projet. On a plutôt droit à un scénario convenu et déjà vu qui ne lève jamais ( jeu de mots...).
Mike (Tatum), travailleur de la construction le jour, strip-teaseur la nuit et entrepreneur dans l'âme, prend sous son aile Adam, un fougueux jeune homme qui ne désire pas entrer dans le moule. Suite à une faiblesse d'un des danseurs, Dallas (McConaughey) engage Adam qui deviendra Le Kid sur scène. Mais la soeur du Kid ne voit pas d'un bon oeil la nouvelle carrière de son petit frère et le mode de vie qui va avec.
Que Channing Tatum soit le personnage principal de ce film est totalement incompréhensible. Bien sûr, il a le physique de l'emploi mais le charisme au niveau zéro. À côté de lui, Matthew McConaughey, dans la seule scène de strip-tease réussie du film, causerait une surcharge électrique à la ville de Montréal. Par contre, celui-ci cabotine dans son personnage de propriétaire de club. Il faut dire que le rôle n'a pas beaucoup de substance. Quand aux seconds rôles, ils sont clichés et mal utilisés. Les numéros de danse sont ordinaires, comme si les gars allaient à l'usine... Et on a ici des bombes masculines d'Hollywood pour l'amour!!! Même Joe Manganiello, l'hyper sexy et populaire être surnaturel de True Blood semble fade, ce qui en dit beaucoup sur le naufrage de l'exercice.
Quand à l'histoire d'amour entre Mike et la soeur d'Adam, on s'en fiche complètement. La bonne fille (Cody Horn) qui s'amourache du bad boy de service, on a déjà vu ça et 1000 fois mieux fait. Et Horn n'a pas la tâche facile, son personnage est aussi beige qu'un mur de cabinet de médecin. Un gâchis sur toute la ligne. Le film sort en DVD cette semaine mais ne payer pas plein prix pour le voir, ce serait trop cher.
lundi 15 octobre 2012
Intrusion de Natsuo Kirino, Le podcast sans nom et Reconstructed de DJ Shadow
Intrusion de Natsuo Kirino, Éditions du Seuil 2011
Je crois qu'Intrusion de Natsuo Kirino est son roman le plus difficile d'approche. Le fait est que tous ses livres le sont, à des degrés différents. L'auteur japonaise, qui a reçu de nombreux prix pour ses romans, nous emmènes dans les recoins les plus noirs de l'âme humaine en nous tenant la main, pas à pas, et le voyage n'est pas souvent de tout repos. Dans le style, Out et Monstrueux en sont le parfait exemple mais en valent vraiment le coup. Si on réussit à dépasser la mise en contexte touffue de ses romans, on découvre un univers très particulier mais sans jamais se sentir voyeur, ce qui fait la grande force de Kirino.
Dans Intrusion, une jeune auteur, Tamaki, part à la recherche de la maîtresse de l'écrivain Midorikawa, obsédée qu'elle est par cette femme magnifique qui est décrite dans l'autobiographie de son amant. Tamaki en fera le sujet de son prochain livre, sa quête la menant à la limite du réel et du fantasme. Moi qui suis rompue à son style littéraire, j'ai eu toute la difficulté du monde à continuer ma lecture. Entre un retour en arrière et un long monologue, la mise en situation du livre est difficile à suivre, sans compter qu'il faut s'habituer aux nombreux noms japonais des personnages...Si vous voulez connaître l'univers de Natsuo Kirino, commencez plutôt par Disparitions ou Le vrai monde pour ensuite vous plonger dans Out et Monstrueux, beaucoup plus noirs.
Reconstructed de DJ Shadow:
DJ Shadow nous offre un best of de 25 de ses chansons de style abstract hip hop. Pionnier dans le genre, certains de ses titres sont composés uniquement de samples ( il possède une collection de plus de 60 000 disques) . Personnellement j'aime beaucoup. L'album commence fort avec son succès Midnight in a perfect world. Très ambiant et loundge. Pour les amateurs de cette musique.
Nouvelle collabaration:
Je collabore maintenant au site http://www.lpsn.ca/ ( Le podcast sans nom ) comme critique musique et cinéma. Donc beaucoup de travail ( et de plaisir ) pour moi. En plus d'avoir du nouveau contenu à vous partager. Que des bonnes nouvelles:)
Je crois qu'Intrusion de Natsuo Kirino est son roman le plus difficile d'approche. Le fait est que tous ses livres le sont, à des degrés différents. L'auteur japonaise, qui a reçu de nombreux prix pour ses romans, nous emmènes dans les recoins les plus noirs de l'âme humaine en nous tenant la main, pas à pas, et le voyage n'est pas souvent de tout repos. Dans le style, Out et Monstrueux en sont le parfait exemple mais en valent vraiment le coup. Si on réussit à dépasser la mise en contexte touffue de ses romans, on découvre un univers très particulier mais sans jamais se sentir voyeur, ce qui fait la grande force de Kirino.
Dans Intrusion, une jeune auteur, Tamaki, part à la recherche de la maîtresse de l'écrivain Midorikawa, obsédée qu'elle est par cette femme magnifique qui est décrite dans l'autobiographie de son amant. Tamaki en fera le sujet de son prochain livre, sa quête la menant à la limite du réel et du fantasme. Moi qui suis rompue à son style littéraire, j'ai eu toute la difficulté du monde à continuer ma lecture. Entre un retour en arrière et un long monologue, la mise en situation du livre est difficile à suivre, sans compter qu'il faut s'habituer aux nombreux noms japonais des personnages...Si vous voulez connaître l'univers de Natsuo Kirino, commencez plutôt par Disparitions ou Le vrai monde pour ensuite vous plonger dans Out et Monstrueux, beaucoup plus noirs.
Reconstructed de DJ Shadow:
DJ Shadow nous offre un best of de 25 de ses chansons de style abstract hip hop. Pionnier dans le genre, certains de ses titres sont composés uniquement de samples ( il possède une collection de plus de 60 000 disques) . Personnellement j'aime beaucoup. L'album commence fort avec son succès Midnight in a perfect world. Très ambiant et loundge. Pour les amateurs de cette musique.
Nouvelle collabaration:
Je collabore maintenant au site http://www.lpsn.ca/ ( Le podcast sans nom ) comme critique musique et cinéma. Donc beaucoup de travail ( et de plaisir ) pour moi. En plus d'avoir du nouveau contenu à vous partager. Que des bonnes nouvelles:)
samedi 13 octobre 2012
Yann Perreau À genoux dans le désir
Ça commence comme un direct au coeur avec la sublime Vertigo de toi et ça se termine avec Au bord du petit lac avec femme fontaine sur la voix de Claude Péloquin. Entre les deux, la musique et la poésie se mélangent pour donner un album magnifique, probablement le plus beau de Yann Perreau. Le chanteur a ici retravaillé des textes inédits de Péloquin, grand poète québécois et auteur (il a écrit les paroles de Lindberg, le classique de Robert Charlebois et Louise Forestier) et les a mis en chansons. Accompagné sur chaque titre par des chanteuses d'ici et pas les moindres (Ariane Moffat, Marie-Pierre Arthur, Lisa Leblanc, Elisapie Isaac entre autres), Perreau nous offre un album touffu et riche au son rock, même un peu industriel et jazz avec une ambiance très années 70. Et l'impression d'être ailleurs, témoin de quelque chose qui nous dépasse...Et que dire de la poignante Qu'avez-vous fait de mon pays, minimaliste et pure qui m'a fait penser par moment à de la musique de films tziganes. Je pense que vous avez comprit que j'ai adoré cet album. En fait c'est pour partager ce genre de moment de bonheur que j'écris ce blogue. À écouter sans modération, en portant une attention particulière aux mots de Péloquin.
vendredi 12 octobre 2012
Ce que j'ai en réserve pour vous
Semaine très chargée pour moi. Je me plaignais de ne pas avoir de lecture et tout arrive maintenant en même temps. J'ai reçu le dernier Natsuo Kirino, Intrusion, et je devrais vous en parler d'ici à lundi. De plus, j'ai d'autres publications de ONLIT éditions sous la main. Et pour terminer, j'ai un Henning Mankell non policier qui m'attend, sans compter tous les romans que j'ai commandés à la bibliothèque publique...Je ne manquerai pas de contenu pour mes critiques littéraires.
La musique va maintenant prendre plus de place sur ce blogue et ça va commencer demain avec mon texte sur le nouvel album de Yann Perreau À genoux dans le désir et bien d'autres suivront. Je vais faire en sorte de vous écrire quotidiennement à partir de lundi. C'était donc un petit coucou pour vous signaler que je travaille fort pour avoir des trucs intéressants à vous partager. Tellement que je n'ai pas encore eu le temps de jetter un oeil sur mon deuxième coffret des Golden girls...;)
La musique va maintenant prendre plus de place sur ce blogue et ça va commencer demain avec mon texte sur le nouvel album de Yann Perreau À genoux dans le désir et bien d'autres suivront. Je vais faire en sorte de vous écrire quotidiennement à partir de lundi. C'était donc un petit coucou pour vous signaler que je travaille fort pour avoir des trucs intéressants à vous partager. Tellement que je n'ai pas encore eu le temps de jetter un oeil sur mon deuxième coffret des Golden girls...;)
mardi 9 octobre 2012
Toison d'or , ONLIT EDITIONS
J'ai reçu quelques e-books de la part de la maison belge ONLIT EDITIONS. Pour tout vous dire, c'est seulement la deuxième fois que j'utilise ce format, étant tellement habituée à traîner mes livres partout. J'ai découvert un logiciel facile d'utilisation qui m'offre une grande qualité de lecture(calibre). J'étais donc prête à plonger dans l'univers de la littérature numérique. Et j'ai commencé aujourd'hui, avec la nouvelle de Patrick Delperdange, Toison d'or.
Je ne suis pas très familière avec les textes érotiques,j'ai bien entendu lu des classiques du genre, Sade entre autres, mais disons que je suis en territoire presque inconnu. J'ai entendu parler de 50 shades of grey de E.L. James, c'est quand même assez difficile de passer à côté d'un si grand succès populaire, mais je ne me suis pas encore laissé tenté par ce roman. La sortie éminente des livres de James en français et l'engouement qui s'en suit m'y poussera peut-être... Pas de meilleure façon de m'initier à ce style littéraire qu'en lisant Toison d'or, une nouvelle d'une quarantaine de pages qui parle d'un jeu érotique inhabituel entre Martin, stagiaire dans une librairie, et Carole, vendeuse dans ce même magasin. On se laisse prendre à cette relation subite, inattendue pour Martin qui ne contrôle pas les évènements ni le désir intense qu'il éprouve pour l'aguicheuse Carole. Mais celui ou celle qui dirige la situation n'est pas qui l'on pense...
Toison d'or de Patrick Delperdange était déjà au neuvième rang de la littérature érotique sur Amazon le lendemain de sa sortie. L'auteur a écrit un polar numérique (Mirador) et plusieurs autres oeuvres en format livre, passant de la littérature jeunesse aux romans noirs. Cette nouvelle est à lire pour les amateurs du genre ou les curieux. De plus, pas besoin de se cacher puisque le e-book est plus que discret sur le sujet de nos lectures...Un point de plus pour les livres numériques!
http://www.onlit.net/
Des projets pour mon blogue
Je travaille très fort afin d'avoir du contenu varié sur ce blogue. Et ça porte fruit. Je peux maintenant vous dire que je vais régulièrement faire des critiques de nouveautés musicales, québécoises ou autres. J'ai déjà en tête quelques titres mais je suis ouverte à vos suggestions. La première chronique devrait porter sur le nouvel album de Bernard Adamus. Et dans un tout autre ordre d'idées, demain je m'achète la saison 2 des The golden girls. Je vous en reparle:)
Je ne suis pas très familière avec les textes érotiques,j'ai bien entendu lu des classiques du genre, Sade entre autres, mais disons que je suis en territoire presque inconnu. J'ai entendu parler de 50 shades of grey de E.L. James, c'est quand même assez difficile de passer à côté d'un si grand succès populaire, mais je ne me suis pas encore laissé tenté par ce roman. La sortie éminente des livres de James en français et l'engouement qui s'en suit m'y poussera peut-être... Pas de meilleure façon de m'initier à ce style littéraire qu'en lisant Toison d'or, une nouvelle d'une quarantaine de pages qui parle d'un jeu érotique inhabituel entre Martin, stagiaire dans une librairie, et Carole, vendeuse dans ce même magasin. On se laisse prendre à cette relation subite, inattendue pour Martin qui ne contrôle pas les évènements ni le désir intense qu'il éprouve pour l'aguicheuse Carole. Mais celui ou celle qui dirige la situation n'est pas qui l'on pense...
Toison d'or de Patrick Delperdange était déjà au neuvième rang de la littérature érotique sur Amazon le lendemain de sa sortie. L'auteur a écrit un polar numérique (Mirador) et plusieurs autres oeuvres en format livre, passant de la littérature jeunesse aux romans noirs. Cette nouvelle est à lire pour les amateurs du genre ou les curieux. De plus, pas besoin de se cacher puisque le e-book est plus que discret sur le sujet de nos lectures...Un point de plus pour les livres numériques!
http://www.onlit.net/
Des projets pour mon blogue
Je travaille très fort afin d'avoir du contenu varié sur ce blogue. Et ça porte fruit. Je peux maintenant vous dire que je vais régulièrement faire des critiques de nouveautés musicales, québécoises ou autres. J'ai déjà en tête quelques titres mais je suis ouverte à vos suggestions. La première chronique devrait porter sur le nouvel album de Bernard Adamus. Et dans un tout autre ordre d'idées, demain je m'achète la saison 2 des The golden girls. Je vous en reparle:)
dimanche 7 octobre 2012
Littérature automnale, cinemaniax.net et Onlit
Je suis présentement bloquée, en attente de recevoir plein de livres dont j'ai hyper envie de vous parler. J'ai donc prit le taureau par les cornes et j'ai fait des demandes à de grandes maisons d'éditions afin de recevoir leurs nouveautés. J'espère avoir des réponses positives, j'ai besoin de matériel pour mon blogue et je veux vous entretenir sur ce qui se passe présentement dans le milieu littéraire. C'est certain que je pourrais vous parler de mes romans préférés, j'en ai tellement, mais il y a un grand nombre de livres de qualité qui sortent à l'automne et je veux vous faire profiter de mes appréciations.
Petite liste rapide des bouquins que j'attends d'ici quelques jours (semaines?).
Je vous ai déjà dit que j'adorais les polars scandinaves et je vais être servie d'ici peu. Le nouveau Jo Nesbo, auteur norvégien, est arrivé en anglais. Phantom est une nouvelle aventure de l'inspecteur Harry Hole. Les romans de Nesbo sont noirs, durs mais tellement complexes et intelligents que vous ne voudrez pas en arrêter la lecture. Arnaldur Indridason, venu d'Islande , à quand à lui écrit La muraille de lave avec en vedette Sigurdur Oli, l'adjoint du commissaire Erlendur dont on suivait les enquêtes dans ces premiers romans. J'attends toujours La sirène de la suédoise Camilla Läckberg dont je vous ai parlé dans un texte précédent et le nouveau J.K Rowling, et ce même si je m'y suis prise à l'avance pour les avoir. Je devrai prendre mon mal en patience... Par contre, je vais recevoir Intrusion, en anglais, de l'auteur japonaise Natsuo Kirino, sous peu . Coeurs sensibles s'abstenir. Disons qu'elle ne fait pas dans la dentelle, mais jamais avec sensationnalisme. Très dérangeant comme lecture mais un de mes grands coups de coeur littéraires.
En terminant, quelques bonnes nouvelles. Je suis maintenant critique cinéma pour le site http://www.cinemaniax.net/ . Vous pourrez donc y lire mes appréciations sur les nouveautés dvd/ blue-ray et films. De plus, je recevrai pour mon blogue les nouveautés e-books de la maison d'éditions http://www.onlit.net/. Et je jongle avec l'idée de transformer mon blogue en page web. De beaux projets qui , j'espère, vont vous intéresser:)
Petite liste rapide des bouquins que j'attends d'ici quelques jours (semaines?).
Je vous ai déjà dit que j'adorais les polars scandinaves et je vais être servie d'ici peu. Le nouveau Jo Nesbo, auteur norvégien, est arrivé en anglais. Phantom est une nouvelle aventure de l'inspecteur Harry Hole. Les romans de Nesbo sont noirs, durs mais tellement complexes et intelligents que vous ne voudrez pas en arrêter la lecture. Arnaldur Indridason, venu d'Islande , à quand à lui écrit La muraille de lave avec en vedette Sigurdur Oli, l'adjoint du commissaire Erlendur dont on suivait les enquêtes dans ces premiers romans. J'attends toujours La sirène de la suédoise Camilla Läckberg dont je vous ai parlé dans un texte précédent et le nouveau J.K Rowling, et ce même si je m'y suis prise à l'avance pour les avoir. Je devrai prendre mon mal en patience... Par contre, je vais recevoir Intrusion, en anglais, de l'auteur japonaise Natsuo Kirino, sous peu . Coeurs sensibles s'abstenir. Disons qu'elle ne fait pas dans la dentelle, mais jamais avec sensationnalisme. Très dérangeant comme lecture mais un de mes grands coups de coeur littéraires.
En terminant, quelques bonnes nouvelles. Je suis maintenant critique cinéma pour le site http://www.cinemaniax.net/ . Vous pourrez donc y lire mes appréciations sur les nouveautés dvd/ blue-ray et films. De plus, je recevrai pour mon blogue les nouveautés e-books de la maison d'éditions http://www.onlit.net/. Et je jongle avec l'idée de transformer mon blogue en page web. De beaux projets qui , j'espère, vont vous intéresser:)
jeudi 4 octobre 2012
The golden girls saison 1 coffret 3 disques
Coffret 3 disques de The golden girls saison 1
Je vous disais hier à quel point j'étais contente d'avoir en ma possession le coffret de la saison 1 de The golden girls et j'ai profité d'une soirée tranquille pour en faire le visionnement. Visuellement, la série vieillit mal, on est quand même en 1985. Mais pour tout le reste, c'est un pur bonheur que de retrouver ces personnages haut en couleurs.
3 femmes célibataires âgées dans la soixantaine habitent ensemble, ainsi que le mère de l'une d'elle: la grande Dorothy à l'humour cinglant, divorcée de Stan qui l'a quitté pour une autre beaucoup plus jeune, Rose, veuve depuis 15 ans, très naïve et qui prend tout au premier degré, la sulfureuse Blanche, veuve elle aussi, qui a toujours besoin d'un homme et la petite Sophia, mamma italienne de Dorothy qui n'a vraiment pas la langue dans sa poche. À 4, elle vivront les aléas du célibat à un âge avancé et traverseront les moment difficiles unies par leur amitié.
The golden girls est un classique de la télé américaine qui dura 7 saisons. Montrer 4 femmes vieillissantes(sans chirurgie!)fortes et célibataires était encore possible à l'époque. Et c'est infiniment drôle, mais d'un humour daté qui ne passerait probablement plus sur nos écran aujourd'hui. Les répliques sont acides et dures, les gestes sont grossis et les regards aussi...Toute la bêtise de Rose (Betty White) se lit dans ses yeux, l'incrédulité de Dorothy (Bea Arthur) face à cette abysse de stupidité aussi. Sophia (Estelle Getty) est FA-BU-LEU-SE avec son attitude de vieille maudite qui se promène avec sa sacoche même la nuit. Personnage le plus faible au niveau de l'humour, Blanche(Rue McClanahan) est imbue d'elle même et adore la gente masculine. Mais tout est crédible, et on s'attache à ses 4 dames qui essaient de reconstruire leur vie après un divorce ou le décès de leur conjoint.
Personnellement, j'ai une préférence pour Sophia. Elle fait partie de mon top 5 des meilleurs rôles féminins comiques à la télé (Roseanne de la série du même nom et sa soeur Jackie, jouées par Roseanne Barr et Laurie Metcalf sont placées au numéro 1). Estelle Getty est totalement hilarante. Avec elle, c'est presque toujours ''une phrase-un punch'' et c'est souvent ''dans les dents''. The golden girls est à voir absolument et je vais me faire un plaisir de me procurer les 6 autres saisons. Rires garantis.
Je vous disais hier à quel point j'étais contente d'avoir en ma possession le coffret de la saison 1 de The golden girls et j'ai profité d'une soirée tranquille pour en faire le visionnement. Visuellement, la série vieillit mal, on est quand même en 1985. Mais pour tout le reste, c'est un pur bonheur que de retrouver ces personnages haut en couleurs.
3 femmes célibataires âgées dans la soixantaine habitent ensemble, ainsi que le mère de l'une d'elle: la grande Dorothy à l'humour cinglant, divorcée de Stan qui l'a quitté pour une autre beaucoup plus jeune, Rose, veuve depuis 15 ans, très naïve et qui prend tout au premier degré, la sulfureuse Blanche, veuve elle aussi, qui a toujours besoin d'un homme et la petite Sophia, mamma italienne de Dorothy qui n'a vraiment pas la langue dans sa poche. À 4, elle vivront les aléas du célibat à un âge avancé et traverseront les moment difficiles unies par leur amitié.
The golden girls est un classique de la télé américaine qui dura 7 saisons. Montrer 4 femmes vieillissantes(sans chirurgie!)fortes et célibataires était encore possible à l'époque. Et c'est infiniment drôle, mais d'un humour daté qui ne passerait probablement plus sur nos écran aujourd'hui. Les répliques sont acides et dures, les gestes sont grossis et les regards aussi...Toute la bêtise de Rose (Betty White) se lit dans ses yeux, l'incrédulité de Dorothy (Bea Arthur) face à cette abysse de stupidité aussi. Sophia (Estelle Getty) est FA-BU-LEU-SE avec son attitude de vieille maudite qui se promène avec sa sacoche même la nuit. Personnage le plus faible au niveau de l'humour, Blanche(Rue McClanahan) est imbue d'elle même et adore la gente masculine. Mais tout est crédible, et on s'attache à ses 4 dames qui essaient de reconstruire leur vie après un divorce ou le décès de leur conjoint.
Personnellement, j'ai une préférence pour Sophia. Elle fait partie de mon top 5 des meilleurs rôles féminins comiques à la télé (Roseanne de la série du même nom et sa soeur Jackie, jouées par Roseanne Barr et Laurie Metcalf sont placées au numéro 1). Estelle Getty est totalement hilarante. Avec elle, c'est presque toujours ''une phrase-un punch'' et c'est souvent ''dans les dents''. The golden girls est à voir absolument et je vais me faire un plaisir de me procurer les 6 autres saisons. Rires garantis.
mercredi 3 octobre 2012
Le nouveau Charlaine Harris: Lili Bard 3-Sombre célébration
Lily Bard 3-Sombre célébration par Charlaine Harris, Flammarion Québec 2012
Mercredi c'est jour d'épicerie pour moi et j'ai fait un détour dans la section DVD d'un grand magasin pour voir les nouveautés. J'ai eu l'excellente surprise de constater que les 7 saisons de la série The golden girls étaient sorties. Un peu plus et je faisais la gigue dans la rangée!!! Je connais les émissions par coeur et je ris toujours à gorge déployée en les regardant. Alors je me suis fait un (immense) plaisir en me procurant le coffret numéro un et bien sur j'achèterai tous les autres. Je vous en reparle demain!
J'ai eu la chance de mettre la main sur un deuxième livre de Charlaine Harris en une semaine. Il faut dire que malgré certaines répétitions, Harris nous sert toujours de la littérature populaire de qualité. Je suis donc passé de la serveuse Sookie aux nouvelles aventures de Lily Bard, la dernière héroïne en liste de Harris. Contrairement à Harper Connelly et Sookie Stackouse, Lily n'a aucun pouvoir surnaturel. Victime d'une agression sauvage quelques années auparavant, elle essaie de refaire sa vie dans la petite ville de Shakespeare en Arkansas, à 3 heures de route de l'endroit où elle a grandit et de sa famille. Adepte de la musculation et experte en karaté, Lily n'a plus l'intention d'être une proie facile face à un potentiel agresseur. Elle fait profil bas afin que personne ne connaisse ses mésaventures passées, ne voulant pas être une éternelle martyr face à ses concitoyens.
Évidemment, rien n'arrive jamais comme on le veut dans la vie et Bard sera confrontée à des meurtres dans les 2 premiers tomes de la série. Dans celui-ci, elle doit rendre visite à sa famille puisque sa soeur cadette se marie. Mais son petit ami Jack, détective privé de profession, viendra la rejoindre car il est sur la piste d'une petite fille enlevée 8 ans plus tôt. Et un des suspects est le futur beau-frère de Lily...Ok, le scénario de base est un peu simple. Mais que voulez-vous? Contrairement à Sookie, elle n'a pas d'amant vampire ET viking qui ressemble à s'y méprendre à Alexander Skarsgard. Alors il faut bien que la malchance la poursuive afin que Lili Bard, femme de ménage de son état, puisse nous montrer sa débrouillardise et sa combativité. Si on accepte la minceur de la prémice, on voudra bien vite suivre les aventures de la jeune femme. Charlaine Harris crée de personnages féminins forts et sympathiques auxquels on s'attache facilement et on a envie de connaître les prochaines péripéties de ceux-ci. Ses romans se lisent comme du bonbon, normalement je prend moins de 2 jours pour les dévorer. À lire sans modération.
Mercredi c'est jour d'épicerie pour moi et j'ai fait un détour dans la section DVD d'un grand magasin pour voir les nouveautés. J'ai eu l'excellente surprise de constater que les 7 saisons de la série The golden girls étaient sorties. Un peu plus et je faisais la gigue dans la rangée!!! Je connais les émissions par coeur et je ris toujours à gorge déployée en les regardant. Alors je me suis fait un (immense) plaisir en me procurant le coffret numéro un et bien sur j'achèterai tous les autres. Je vous en reparle demain!
J'ai eu la chance de mettre la main sur un deuxième livre de Charlaine Harris en une semaine. Il faut dire que malgré certaines répétitions, Harris nous sert toujours de la littérature populaire de qualité. Je suis donc passé de la serveuse Sookie aux nouvelles aventures de Lily Bard, la dernière héroïne en liste de Harris. Contrairement à Harper Connelly et Sookie Stackouse, Lily n'a aucun pouvoir surnaturel. Victime d'une agression sauvage quelques années auparavant, elle essaie de refaire sa vie dans la petite ville de Shakespeare en Arkansas, à 3 heures de route de l'endroit où elle a grandit et de sa famille. Adepte de la musculation et experte en karaté, Lily n'a plus l'intention d'être une proie facile face à un potentiel agresseur. Elle fait profil bas afin que personne ne connaisse ses mésaventures passées, ne voulant pas être une éternelle martyr face à ses concitoyens.
Évidemment, rien n'arrive jamais comme on le veut dans la vie et Bard sera confrontée à des meurtres dans les 2 premiers tomes de la série. Dans celui-ci, elle doit rendre visite à sa famille puisque sa soeur cadette se marie. Mais son petit ami Jack, détective privé de profession, viendra la rejoindre car il est sur la piste d'une petite fille enlevée 8 ans plus tôt. Et un des suspects est le futur beau-frère de Lily...Ok, le scénario de base est un peu simple. Mais que voulez-vous? Contrairement à Sookie, elle n'a pas d'amant vampire ET viking qui ressemble à s'y méprendre à Alexander Skarsgard. Alors il faut bien que la malchance la poursuive afin que Lili Bard, femme de ménage de son état, puisse nous montrer sa débrouillardise et sa combativité. Si on accepte la minceur de la prémice, on voudra bien vite suivre les aventures de la jeune femme. Charlaine Harris crée de personnages féminins forts et sympathiques auxquels on s'attache facilement et on a envie de connaître les prochaines péripéties de ceux-ci. Ses romans se lisent comme du bonbon, normalement je prend moins de 2 jours pour les dévorer. À lire sans modération.
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