dimanche 28 octobre 2012

Amityville: La maison du diable

Copyright Metro Goldwin Mayer

Comme l'halloween arrive à grands pas, j'ai décidé de vous parler de mes cinq films d'horreur préférés. J'ai déjà écrit un texte, Classique de l'horreur, sur ce qui est pour moi un des meilleurs films de ce genre, The Omen. Au numéro deux de mon classement se trouve The Amityville horror (Amityville: La maison du diable) sorti en 1979 (pas le remake de 2005 avec Ryan Reynolds, mon dieu, non!!!) et réalisé par Stuart Rosenberg d'après le roman de Jay Anson. Ce long métrage m'a fait faire des cauchemars récurrents, la scène de la cave m'ayant littéralement traumatisé durant mon enfance. Évidemment, je le regarde aujourd'hui avec des yeux d'adulte et je le trouve un peu moins effrayant, mais à peine. Je vous l'ai déjà souligné, je préfère les suspenses psychologiques au gros gore dégoulinant. Et on est servi avec Amityville...

Georges et Kathy Lutz achètent une maison à rabais sans savoir que quelques années plus tôt s'y est déroulé des incidents tragiques. Le comportement du père de famille changera graduellement, celui-ci devenant une menace pour son entourage tandis que des évènements horrifiants se produisent dans la demeure. Selon le livre de Jay Anson, l'histoire serait basée sur des faits réels qui auraient prit  place en 1975... À faire dresser les cheveux sur la tête!

Dans le rôle de George, on retrouve un tout jeune James Brolin (mari de Barbra Streisand et père de l'acteur Josh Brolin). Son frère joue d'ailleurs son double démoniaque dans la fameuse scène du sous sol. Margot Kidder, dans le rôle de Kathy, réussit même à faire oublier la Lois Lane de Superman. Un excellent film qu'il fait bon revisiter. Demain, la position suivante dans ma liste de l'horreur.

Collaborations

Je vous ai déjà dit que j'étais nouvellement critique films et musique pour 2 sites web. Voici donc les liens pour lire mes articles. Cherchez sous le nom Julie Montpetit et vous me trouverez sur cinemaniax.net et dans la section musique ou cinéma sur lpsn.ca .

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